Accueil
Calendrier
Dernières images
FAQ
Rechercher
Membres
Groupes
S'enregistrer
Connexion Ven 19 Avr - 2:04 par Charlie West
Ven 12 Avr - 15:50 par Invité
Jeu 1 Fév - 17:42 par Invité
Ven 26 Jan - 5:00 par Blanche Quesnel
Dim 10 Déc - 21:12 par Iruma Shinobu
Dim 10 Déc - 21:04 par Iruma Shinobu
Dim 10 Déc - 20:56 par Iruma Shinobu
Dim 10 Déc - 18:06 par Julie Jolie
Mar 5 Déc - 1:27 par Akane Kuroe
Une élève bien singulière.
Les couloirs de l'école résonnaient du brouhaha habituel, mêlant rires étouffés, murmures d'adolescents, et le doux cliquetis des casiers. Je me frayais un chemin à travers la marée d'uniformes scolaires, mon pas assuré accompagné du léger cliquètement de mes escarpins contre le carrelage.
Tandis que je progressais, je pouvais sentir les regards furtifs qui se détachaient de conversations animées pour se poser sur moi. Des étudiants, visages anxieux ou curieux, s'efforçaient de dévier de ma trajectoire, me cédant le passage comme s'ils craignaient une perturbation dans le calme relatif des couloirs.
Certains évitaient délibérément de croiser mon regard, plongeant leur nez dans leurs livres ou détournant leur attention vers des tableaux d'affichage. Des murmures étouffés couraient parmi eux, évoquant des récits exagérés et des rumeurs qui amplifiaient ma présence en une aura mystérieuse.
C'était une scène familière, cette danse subtile d'évitement et de précaution. Mon statut de professeur, mon aura froide, les rumeurs sur moi made in Charlie , créait un espace invisible autour de moi, un espace que les étudiants préféraient ne pas perturber à ma grande joie.
Pourtant, je continuais ma route, les épaules droites et le regard résolu. Ces petites mises en scène de la vie quotidienne ne m'atteignaient guère. Les couloirs pouvaient bien être semés d'échos silencieux et d'étudiants évitant mon passage.
Je pénétrai dans la bibliothèque, mes talons aiguilles continuant de faire résonner un écho distinct à chaque pas.
Les étudiants, plongés dans leurs livres et leurs études, semblaient réagir à ma présence comme dans les couloirs. Certains levaient timidement les yeux avant de les baisser rapidement, évitant soigneusement de croiser mon regard. Un murmure d'inquiétude semblait se propager dans mon sillage, et le simple cliquetis de mes talons suscitait des éclats de chuchotements parmi les étagères de livres.
Déterminée à me concentrer sur ma quête, je me dirigeai vers les rayons, à la recherche du livre de référence dont j'avais besoin pour mon cours d'histoire. La bibliothèque, ce sanctuaire de connaissances, était imprégnée d'une atmosphère studieuse, mais mes pas semblaient rompre le calme, annonçant ma présence avant même que je n'arrive à destination.
Enfin, mes yeux balayèrent les étagères, identifiant rapidement le livre que je cherchais. Alors que je tendais la main pour le saisir, mes yeux captèrent un visage familier. Tohaya Kaizu, une étudiante que je connaissais bien. Elle était assise à une table en bois usé, plongée dans ses propres pensées ou peut-être absorbée par les pages d'un ouvrage
Sans hésiter, je m'approchai d'elle d'un pas vif.
-« Mademoiselle Kaizu. »
L'appelai-je d'une voix douce mais froide, cherchant à briser la barrière du silence qui nous séparait.
-« Comment allez-vous ? »
Ma question était sincère, et mon regard traduisait une préoccupation authentique pour le bien-être de mes étudiants. Surtout, l'une de mes favorites, bien que je lui ai jamais montré par souci d'équité
Tandis que je progressais, je pouvais sentir les regards furtifs qui se détachaient de conversations animées pour se poser sur moi. Des étudiants, visages anxieux ou curieux, s'efforçaient de dévier de ma trajectoire, me cédant le passage comme s'ils craignaient une perturbation dans le calme relatif des couloirs.
Certains évitaient délibérément de croiser mon regard, plongeant leur nez dans leurs livres ou détournant leur attention vers des tableaux d'affichage. Des murmures étouffés couraient parmi eux, évoquant des récits exagérés et des rumeurs qui amplifiaient ma présence en une aura mystérieuse.
C'était une scène familière, cette danse subtile d'évitement et de précaution. Mon statut de professeur, mon aura froide, les rumeurs sur moi made in Charlie , créait un espace invisible autour de moi, un espace que les étudiants préféraient ne pas perturber à ma grande joie.
Pourtant, je continuais ma route, les épaules droites et le regard résolu. Ces petites mises en scène de la vie quotidienne ne m'atteignaient guère. Les couloirs pouvaient bien être semés d'échos silencieux et d'étudiants évitant mon passage.
Je pénétrai dans la bibliothèque, mes talons aiguilles continuant de faire résonner un écho distinct à chaque pas.
Les étudiants, plongés dans leurs livres et leurs études, semblaient réagir à ma présence comme dans les couloirs. Certains levaient timidement les yeux avant de les baisser rapidement, évitant soigneusement de croiser mon regard. Un murmure d'inquiétude semblait se propager dans mon sillage, et le simple cliquetis de mes talons suscitait des éclats de chuchotements parmi les étagères de livres.
Déterminée à me concentrer sur ma quête, je me dirigeai vers les rayons, à la recherche du livre de référence dont j'avais besoin pour mon cours d'histoire. La bibliothèque, ce sanctuaire de connaissances, était imprégnée d'une atmosphère studieuse, mais mes pas semblaient rompre le calme, annonçant ma présence avant même que je n'arrive à destination.
Enfin, mes yeux balayèrent les étagères, identifiant rapidement le livre que je cherchais. Alors que je tendais la main pour le saisir, mes yeux captèrent un visage familier. Tohaya Kaizu, une étudiante que je connaissais bien. Elle était assise à une table en bois usé, plongée dans ses propres pensées ou peut-être absorbée par les pages d'un ouvrage
Sans hésiter, je m'approchai d'elle d'un pas vif.
-« Mademoiselle Kaizu. »
L'appelai-je d'une voix douce mais froide, cherchant à briser la barrière du silence qui nous séparait.
-« Comment allez-vous ? »
Ma question était sincère, et mon regard traduisait une préoccupation authentique pour le bien-être de mes étudiants. Surtout, l'une de mes favorites, bien que je lui ai jamais montré par souci d'équité
Akane Kuroe
Mini icône :
Phrase :
Jelly-o pudding wafer oat cake liquorice gummi bears tart chocolate pie.
Alice :
Copycat
Messages :
12
Rabbits :
00
Groupe :
Spécial
Rang :
Professeur
Age :
25 ans
Points :
65
Permission de ce forum:
|
|
|