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Mer 26 Juin - 12:42 par Tohaya Kaizu
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Ven 14 Juin - 23:28 par Komari Shimizu
Ven 14 Juin - 23:12 par Amara Smith
La Brute Brutalisée feat Charlie
Byron venait de faire son entrainement quotidien au parc afin de se perfectionner et de s'améliorer comme à son habitude. Même après son entrainement il réfléchissait a un moyen de s'améliorer et de gagner une étoile par la force. Il s'en rendait pas compte mais de l'extérieur, on était capable de distinguer son sourire malfaisant et presque ses intentions. Malgré ça, il reste humain et aimerais bien se reposer dans sa chambre et c'est pour cela qu'il se dépêcha de se diriger vers sa chambre tout en bousculant les personnes autour quitte a se battre verbalement avec. Alors qu'il allait dans sa "chambre" il a oublier d'aller acheter a boire avec le peu d'argent qu'il avait. Donc il alla en direction pour en acheter avant de retourner dans sa chambre.
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
Charlie, il n'a pas l'habitude d'être seul. Souvent entouré, jamais laissé pour compte, il a tout de même dû s'absenter de son groupe social le temps de se rafraîchir.
En chemin, alors qu'il arpentait le couloir pour retrouver ses potes -quelque chose- ou plutôt, quelqu'un, retient immédiatement son intérêt. Quelques pas en arrière suffissent pour annuler les précédents, et c'est avec un regard pernicieux qu'il l'accoste ; cet élève en perdition.
« C'est pas le type du grenier ? »
Oh, Charlie parle assez fort. Assez fort pour que le principal concerné puisse l'entendre et réagir, mais pas assez fort pour faire l'objet d'accusations si d'autres oreilles témoins venaient à traîner dans les parages. Faux sourire à la démarche féline, Charlie vient chercher la provocation. La vipère a quitté son antre, et avec, de sa zone de confort.
Le West n'est pas du genre à attaquer le premier sans protection derrière. C'est un suiveur qui approuve les décisions de ses leaders - mais, quand le système tolère que des gens comme lui (moins élevé dans l'échelle sociale) se servent des loosers sans étoile pour s'élever, il ressent une immunité totale qui lui permet d'en profiter en toute quiétude.
Charlie ne se sent pas coupable de ses actes, au contraire ! Il se voit comme le maillon d'une chaîne qui utilise les droits qu'on lui donne, en prime, ça lui fait gonfler plus que l'ego puisque ses mauvais traitements à l'égard de Byron ne seront jamais entièrement de sa faute. C'est l'idéologie même de l'école qui les encourage, et dans son éducation, on lui a toujours appris à suivre le système dans lequel il évolue.
En prime, il se sent comme un héros : leur échange donne l'exemple à ceux qui aurait envie de se relâcher, et permet aux perfides comme lui de lâcher ses nerfs. Parce que, mine de rien, ne pas être en mesure d'obtenir la réplique du t-shirt de sa star préférée sur une boutique en ligne, c'est ça, la véritable frustration.
« Visez-moi ça, c'est une espèce rare. »
Tel un chasseur avide de proies à buzz, c'est de son arme à la lentille allumée qu'il a braqué son téléphone portable sur lui.
« Ça mange quoi à votre avis ? Des restes de la cantine ? Imaginez si tout le monde recrache sa propre nourriture dans son assiette, cela signifie qu'il la mange, puisque c'est tout ce qu'il a... Donc, il vous fait des baisers indirects et... ouais les gars, c'est répugnant ! Il est tellement sans amis que c'est sa manière de chercher le contact : c'est pathétique. »
Charlie rit. Charlie fait le malin - Charlie s'amuse vraiment bien.
Alors qu'il se promenait dans le couloir Byron fut déranger par un son horripilant jusque dans les tréfonds de sa chair, un semblant de voix , non , cela était bien une voix, celle d'un élève, oui, autre que lui-même donc un moins que rien. En plus de ça, il a cru entendre des mots dérangeant tel que " type " et " grenier".
L'esprit de Byron commença a tourner sur lui-même, il commençait à douter des paroles qu'ils avait entendu mais pas pour longtemps car le possible auteur de ce son se manifesta de nouveau. Une espèce rare sous les projecteurs d'un téléphone portable tel un animal sauvage au cirque, voila avec quoi était comparé Byron de la part du minable en face de lui. En plus de ça, il parle d'histoire étrange de recherche de contact avec les restes de la cantine.
Byron avait compris que le larbin en face de lui lui cherchait des noises, il a pas fallu longtemps avant Byron s'emporte et aille a la rencontre de ce lycéen
" Alors minable , comme ça tu aime te moquer de moi ? tu sais a qui tu parle au moins , et pour quelle raison je vis au grenier ? Bien sûr que non, tu est trop occupé a gravir les échelons comme le bon petit larbin que tu est. Je pensais pas qu'il s'agissait d'un élevage de mouton cette académie. Je croyais qu'on était censé y développer nos pouvoir."
Byron était très vexé en face de ce lycéen qui semblait s'amuser comme un petit fou.
L'esprit de Byron commença a tourner sur lui-même, il commençait à douter des paroles qu'ils avait entendu mais pas pour longtemps car le possible auteur de ce son se manifesta de nouveau. Une espèce rare sous les projecteurs d'un téléphone portable tel un animal sauvage au cirque, voila avec quoi était comparé Byron de la part du minable en face de lui. En plus de ça, il parle d'histoire étrange de recherche de contact avec les restes de la cantine.
Byron avait compris que le larbin en face de lui lui cherchait des noises, il a pas fallu longtemps avant Byron s'emporte et aille a la rencontre de ce lycéen
" Alors minable , comme ça tu aime te moquer de moi ? tu sais a qui tu parle au moins , et pour quelle raison je vis au grenier ? Bien sûr que non, tu est trop occupé a gravir les échelons comme le bon petit larbin que tu est. Je pensais pas qu'il s'agissait d'un élevage de mouton cette académie. Je croyais qu'on était censé y développer nos pouvoir."
Byron était très vexé en face de ce lycéen qui semblait s'amuser comme un petit fou.
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
Voilà que l'autre sort un discours émotionnel à faire pleurer dans les chaumières. Charlie n'a pas le temps pour ce genre de pleurnicheries, ce n'est pas comme s'il s'intéressait réellement à la philosophie et aux enjeux de la société actuelle. Lui, il voit la réalité telle qu'elle est et prend les choses telles qu'elles sont ; ce qui ne lui permet hélas pas de mesurer les conséquences à long terme de ses actions.
La preuve en est que son manque d'anticipation ne lui a pas permis de prédire que l'élève violent se retrouverait à quelques centimètres de son visage, visiblement prêt à en découdre. Charlie n'est pas courageux, Charlie est un lâche. Pourtant, ses talents innés d'acteur ainsi que son calme naturel rendent son expression nonchalante face à la brute qui lui prodigue des menaces indirectes.
« Crois pas que tu es le centre du monde, je ne parlais même pas de toi. »
Charlie tire un petit bout de langue, Charlie sait qu'il est en train de gagner cette guéguerre. Pourtant, Charlie n'est pas en paix pour autant. Son regard scrute les alentours afin d'évaluer la distance qui le sépare de ses potes qu'il aperçoit derrière les immenses carreaux de la baie vitrée. Ils devraient pouvoir arriver vite en cas de réels problèmes.
Alors que la tension est plus que palpable, Charlie comprend sa position délicate. Il est dans de beaux draps, pourtant, il ne lésinera pas sur la créativité pour parvenir à ses fins.
Charlie le défie du regard pendant qu'il froisse ses propres vêtements, allant même jusqu'à déchirer le col de son propre t-shirt. Petit clin d'œil à l'égard du caïd, et, sans crier gare, il lui attrape ses grosses paluches pour l'inciter à s'emparer des pans du tissu délabré.
« Hé mec, j-j'ai plus d'argent, ok... Je t'ai tout donné la semaine dernière... »
La mise en scène est parfaite, il ne manque plus que quelques effets spéciaux qui ne devraient plus tarder à arriver en grandeur nature.
« Ne me frappe pas, arrête ! »
Le comédien amplifie le son de sa voix sur quelque chose de plus inquiet que ces cordes vocales pourraient naturellement en être capable. Tout le monde sait que Charlie est rarement nerveux ; par conséquent, cette variation devrait attirer l'attention, non ? La bagarre, c'est toujours un motif de renvoi pour le bourreau.
Byron a l'habitude de rabaisser les autres dès qu'il en a l'occasion, imposer sa supériorité est sa spécialité, il lui suffit juste d'une preuve que sa potentielle victime est inférieure à lui pour le motiver à le rabaisser plus bas que terre. Il se voit comme celui qui gagne à la fin et qui s'avoue vaincu seulement contre meilleur que lui. Chacun à sa place dans ce monde et chacun doit la connaître. C'est pour cela qu'il réfléchit aux personnes auxquelles il s'en prend, jamais il s'en prendrait a plus puissant que lui autant en terme d'Alice que d'autorité.
Byron a beau être une brute, il reste tout de même le dignitaire d'une famille puissante qui amuse son intelligence et sa réflexion. La situation actuelle avec le collégien en face de lui le met a l'épreuve : jamais quelqu'un que Byron voit plus faible que lui était venu le provoquer directement. Si Byron a perdu ses étoiles, c'est à cause d'élèves plus âgés ou de professeur qui ont eu preuve de son comportement sachant la mise en garde de ses parents.
Malgré ses propos agressifs, Byron évite la violence : c'est la première fois qu'il se retrouve dans cette situation et il ne sait pas cette cherche son interlocuteur.
Mais c'est de courte durée, car le jeune homme en face de lui ne perd pas son temps et montre vite ses crocs. D'abord, il fait semblant de ne pas lui avoir parlé.
" Tu ne parlais pas à moi hein ? Tu te fiche de moi ? Tu en connais beaucoup de sans-étoiles dans le coin ? Si c'est le cas, tu dois faire attention à toi mec. D'ailleurs, justement, j'en suis un ! " Byron affiche un sourire carnassier en prononçant ses paroles.
Ensuite, il met en scène une agression où Byron est l'agresseur et lui la victime et tout ça en arborant son air provocateur insupportable pour Byron. Byron a très bien compris ce qu'il se passait. Monssieur le collégien est un comédien hors pair qui n'a pas peur de se mouiller juste dans l'intention de nuire a Byron. Byron voit le petit comédien regarder à travers la baie vitrée sûrement pour s'assurer que quelqu'un voit la scène.
Dans cette mise en scène, Byron y voyait des défauts dont il compte bien profiter : pourquoi un sans - étoile irait agresser ouvertement quelqu'un devant tout le monde ? D'autant que tout le monde sait que Byron est intelligent et ambitieux et ça n'irais jamais dans son intérêt de faire ça. Et s'il prévient les professeurs lui-même, il pourra espérer avoir droit à un alibi.
Alors que Byron avait les mains sur le col du comédien, il tenta d'échapper à la situation telle la victime qu'il est :
"Et pourquoi je te frapperais hein ? Tu n'es qu'un minable qui n'en vaut pas la peine. Alors je t'ai demandé de l'argent ? Dans ce cas, je ne m'embêterai pas de manger des restes comme tu le dis " Byron enleva ses mains du col du garçon et invoqua un rat automate afin de chercher un enseignant pas loin en pensant "je vais te prendre au jeu petit, malin".
Le plan de Byron pour gagner son innocence était en place, il n'allait peut-être pas fonctionner, mais de toute manière dans sa situation, il fallait bien tenter quelque chose.
Byron a beau être une brute, il reste tout de même le dignitaire d'une famille puissante qui amuse son intelligence et sa réflexion. La situation actuelle avec le collégien en face de lui le met a l'épreuve : jamais quelqu'un que Byron voit plus faible que lui était venu le provoquer directement. Si Byron a perdu ses étoiles, c'est à cause d'élèves plus âgés ou de professeur qui ont eu preuve de son comportement sachant la mise en garde de ses parents.
Malgré ses propos agressifs, Byron évite la violence : c'est la première fois qu'il se retrouve dans cette situation et il ne sait pas cette cherche son interlocuteur.
Mais c'est de courte durée, car le jeune homme en face de lui ne perd pas son temps et montre vite ses crocs. D'abord, il fait semblant de ne pas lui avoir parlé.
" Tu ne parlais pas à moi hein ? Tu te fiche de moi ? Tu en connais beaucoup de sans-étoiles dans le coin ? Si c'est le cas, tu dois faire attention à toi mec. D'ailleurs, justement, j'en suis un ! " Byron affiche un sourire carnassier en prononçant ses paroles.
Ensuite, il met en scène une agression où Byron est l'agresseur et lui la victime et tout ça en arborant son air provocateur insupportable pour Byron. Byron a très bien compris ce qu'il se passait. Monssieur le collégien est un comédien hors pair qui n'a pas peur de se mouiller juste dans l'intention de nuire a Byron. Byron voit le petit comédien regarder à travers la baie vitrée sûrement pour s'assurer que quelqu'un voit la scène.
Dans cette mise en scène, Byron y voyait des défauts dont il compte bien profiter : pourquoi un sans - étoile irait agresser ouvertement quelqu'un devant tout le monde ? D'autant que tout le monde sait que Byron est intelligent et ambitieux et ça n'irais jamais dans son intérêt de faire ça. Et s'il prévient les professeurs lui-même, il pourra espérer avoir droit à un alibi.
Alors que Byron avait les mains sur le col du comédien, il tenta d'échapper à la situation telle la victime qu'il est :
"Et pourquoi je te frapperais hein ? Tu n'es qu'un minable qui n'en vaut pas la peine. Alors je t'ai demandé de l'argent ? Dans ce cas, je ne m'embêterai pas de manger des restes comme tu le dis " Byron enleva ses mains du col du garçon et invoqua un rat automate afin de chercher un enseignant pas loin en pensant "je vais te prendre au jeu petit, malin".
Le plan de Byron pour gagner son innocence était en place, il n'allait peut-être pas fonctionner, mais de toute manière dans sa situation, il fallait bien tenter quelque chose.
Intervention PNJ
Un enseignant se tenait debout dans la salle des profs, occupé à boire son café tout en regardant par la fenêtre l'extérieur. Rapidement, il finit la boisson avant de ranger la tasse pour se balader dans les couloirs. Bientôt, il devra prendre son cours en main et se rendre dans la classe. Il espérait ne pas à avoir à hausse le ton cette fois-ci. Surtout que les élèves le trouvait trop strict pour la plupart, il en était conscient. Mais il savait que s'il les laissait faire cela fini en bazar complet. Il voulait de la discipline dans son cours et pas un club med où c'était les étudiants qui définissaient ce qu'ils voulaient faire ou non. Après tout ils étaient là pour apprendre et pas pour s'amuser.
Avançant tranquillement dans les couloirs, il entend une voix forte, comme-ci elle demandait de l'aide. Encore un élève qui en faisait des siennes sur un autre élèves surement. Arrêteront ils jamais ? L'enseignant se croyait parfois dans une garderie à force, c'était lassant. S'il fallait encore être sévère il le serait. D'un pas rapide, il se rendis vers l'origine du bruit. Plus il s'approchait, plus il entendait des brides de conversation. Deux élèves se battaient apparemment, enfin de ce qu'il entendait. Mais le deuxième ne semblait pas du même avis de ce qu'il entendait. Ou peut être essayait-il de se dédouaner ?
Blasé, l'adulte continuait d'avancer, il serait bientôt sur les lieux. Quelque chose cogna alors contre une des chaussures de l'enseignant. Celui-ci baissa la tête ou il aperçu un genre de rat fabriqué. Etait-ce un Alice ? Cela était plus qu'évident. Soudain le rat fit demi-tour comme pour l'inciter à le suivre ce que l'adulte fit.
Il tomba alors sur deux garçons en face à face, prêts à en découdre. Eh bien, finalement il avait surement raison. D'une puissante voix tu les interromps.
- Puis-je savoir ce qu'il se passe ici messieurs ?
D'un oeil sévère, tu les fixe. Pour que les deux parlent, tu n'hésites pas à les menacer d'un punition.
- Le fautif de ce boucan se verra collé pendant 3 jours et sera de corvée poubelles. Soyez heureux que je ne demande pas à ce qu'on vous enlève une étoile.
Tu jettes un oeil au deux élèves, tu remarques que le premier à deux étoiles et le deuxième aucune. Tu te demandes alors si ce n'est pas le sans étoile le fautif.
- Je vois que pour certain cela semble naturel de ne pas avoir d'étoile. Je risque donc d'être plus strict en montant à 5 jours de colle et 1 semaine de corvée poubelle.
Tu reportes ton attention sur les deux élèves.
- J'attends rapidement une explication.
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
L'autre monte en pression. Charlie a déjà obtenu ce qu'il voulait, et tout ça en un seul claquement de doigts, c'était trop facile. L'étudiant a un avantage non excluable sur son adversaire et il compte bien s'en servir à bon escient. Sa victime n'a aucune vitalité et en plus de tous les paramètres qui le favorisent par son statut actuel et sa prestance, Charlie est aussi bien plus populaire.
« Un quoi ? Un cas social ? Ça ne m'étonne même pas. »
L'autre perd les moyens, se défend par la logique en tombant bêtement dans l'hostilité et les menaces. La portée de sa voix est la touche finale pour attirer un professeur. Dans sa démarche, son interlocuteur est déjà le premier perdant.
Charlie, il a la technique, il se déresponsabilise en admettant justement sa responsabilité. Le truc, c'est qu'on doit voir que la victime, c'est lui. Ses mots et surtout son corps parle pour lui. Il garde une posture basse, une attitude fuyante qui se met dans une situation de stress. L'illusion doit être parfaite, l'illusion, c'est de montrer que Byron lui fait peur.
« Monsieur, s'il vous plaît, ne punissez pas Byron. »
Comment croire à ce prétendu mensonge censé sauver son bourreau quand on constate l'état de ses frusques ? Charlie, il a un discours flou, il ne communique pas clairement sur la situation en plus d'en modifier les circonstances. Il joue sur l'empathie, la complaisance ; Charlie, il manipule l'art de la conversation.
« Je ne souhaite pas qu'il y ait des répercussions, ce n'est pas si grave... »
Il piège Byron dans ce dernier tour de main. Byron ne pourrait pas exprimer la vérité, elle est trop osée, trop imparfaite et surtout, impossible ; le professeur ne pourrait croire en de telles inepties. C'est sa parole contre la sienne et ici, la parole des deux étoiles comptent plus que ceux qui n'en possèdent tout simplement pas.
Byron a conscience que l'on se fiche de lui, entre Charlie qui joue la victime et le professeur méprisant les sans étoiles, tu ne sais plus où te mettre, tu es à la position la plus délicate possible mais justement vue dans la situation dans laquelle tu es tu n'as plus grand-chose à perdre et tu le sais : tu dois aller au bout de ton plan
" j'espère bien qu'il y aura des répercussions, je ne vous ai pas dérangé pour rien"
Tu fais référence à l'automate que tu as envoyé pour aller prévenir les professeurs. Tu cherches à montrer que c'est toi la victime et non pas l'inverse et pour ça il faut que tu fasses preuve de bonne volonté envers l'enseignant. Tu veux faire regretter à Charlie d'avoir joué les fauteurs de troubles. Tout est du côté de Charlie mais tu comptes bien renverser la situation.
" C'est difficile à croire mais je suis la victime dans l'histoire pour une fois , j'ai conscience de ne pas être crédible mais si j'étais le coupable je n'aurais pas envoyé mon automate pour venir vous chercher monsieur."
Tu restes calme et poli comme tu l'as toujours été envers les enseignants, c'est difficile à croire venant de toi mais étant plus puissant et plus âgé avec de l'autorité, tu ne peux que les respecter en restant à ta place d'élève. Aussi tu comptes bien dénoncer la vérité en jouant sur le fait que tu sois venue le chercher
"Mon camarade me harcèle parce-que je suis un sans étoile et compte bien me faire accuser d'un nouveau tort que je n'ai pas commis, il cherche à vous faire croire que je l'ai agressé d'où l'état de sa chemise, j'aimerais beaucoup qu'il me laisse tranquille et c'est pour cela que mon automate est venu vous voir"
Pour la première fois de ta vie tu en viens à demander de l'aide au professeur devant toi, ta situation l'oblige. Pour une fois tu agis comme un élève normal, un camarade te harcèle donc tu demandes de l'aide. Charlie veut jouer les harceleurs . Tu comptes bien lui faire comprendre ce que c'est d'un être un et qu'il va devoir assumer ses actes; tu veux lui faire subir ce que toi tu subit a chaque fois que tu te fais attraper.
" j'espère bien qu'il y aura des répercussions, je ne vous ai pas dérangé pour rien"
Tu fais référence à l'automate que tu as envoyé pour aller prévenir les professeurs. Tu cherches à montrer que c'est toi la victime et non pas l'inverse et pour ça il faut que tu fasses preuve de bonne volonté envers l'enseignant. Tu veux faire regretter à Charlie d'avoir joué les fauteurs de troubles. Tout est du côté de Charlie mais tu comptes bien renverser la situation.
" C'est difficile à croire mais je suis la victime dans l'histoire pour une fois , j'ai conscience de ne pas être crédible mais si j'étais le coupable je n'aurais pas envoyé mon automate pour venir vous chercher monsieur."
Tu restes calme et poli comme tu l'as toujours été envers les enseignants, c'est difficile à croire venant de toi mais étant plus puissant et plus âgé avec de l'autorité, tu ne peux que les respecter en restant à ta place d'élève. Aussi tu comptes bien dénoncer la vérité en jouant sur le fait que tu sois venue le chercher
"Mon camarade me harcèle parce-que je suis un sans étoile et compte bien me faire accuser d'un nouveau tort que je n'ai pas commis, il cherche à vous faire croire que je l'ai agressé d'où l'état de sa chemise, j'aimerais beaucoup qu'il me laisse tranquille et c'est pour cela que mon automate est venu vous voir"
Pour la première fois de ta vie tu en viens à demander de l'aide au professeur devant toi, ta situation l'oblige. Pour une fois tu agis comme un élève normal, un camarade te harcèle donc tu demandes de l'aide. Charlie veut jouer les harceleurs . Tu comptes bien lui faire comprendre ce que c'est d'un être un et qu'il va devoir assumer ses actes; tu veux lui faire subir ce que toi tu subit a chaque fois que tu te fais attraper.
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
Charlie a envie de pouffer de rire, il retient difficilement son rictus alors qu'il est dos au professeur. Encore, Charlie provoque. Byron est dans une sacrée merde qu'il remue tout seul en essayant de se sauver désespérément - et ça, voyez-vous, ça le fait vraiment marrer.
Oh, il le laisse parler, oui. Il le laisse même prendre tout son temps. Et bordel, qu'est-ce que ça dure... Il en avait des choses à dire finalement. Pour une simple brute qui terrorise tous les autres gamins, il fait moins le fier maintenant qu'il se retrouve à leur place.
En fait, Charlie, il n'en a rien à faire des autres. Rien à foutre de savoir que c'est Byron la terreur, et que les autres, trop faibles pour se défendre, soient terrorisé par le sans étoile. Charlie ne s'amuse pas avec Byron pour être un justicier ou quoi que ce soit, au contraire, il tient à rester celui qui doit être protégé.
Charlie, c'est juste un lâche. Un lâche qui n'assume pas ses conneries. Un lâche qui va trop loin, mais qui ne sait pas qu'il va trop loin. Son cul est protégé par son cercle d'amis influents, et là, son cul est aussi protégé par le professeur. Parce que lui, des étoiles, il en a deux. Quoi qu'il dise, sa parole sera toujours plus crédible. Pourtant, ce n'est pas une raison pour ne pas jouer son rôle comme il faut, et, une fois que Byron a fini de couiner, Charlie intervient ; il prend même sa meilleure voix de victime.
« Mais enfin, pourquoi aurais-je fait ça à ma propre chemise ? »
Byron joue sur la vérité en faisant appel à ses émotions, pendant que Charlie joue les émotions en faisant appel à sa logique. Maintenant que la brute a, il ne sait comment, réussi à se temporiser pour tenter de gagner ce duel, le chacal qu'est Charlie n'hésite pas non plus à utiliser à toute sa force mentale pour le vaincre. Le pire, c'est qu'il est persuadé d'avoir déjà gagné ; c'est ça qui fait sa force.
Putain de merde, c'est qu'il insiste, l'autre, avec son automate, c'est bien la seule chose qui pourrait le faire flancher. Charlie, il panique un peu, peut-être que le professeur risquerait de croire son rival à cause de vraies preuves qu'il lui présente, mais Charlie, il réfléchit vite aussi. Rien n'indique que Byron a envoyé son automate pour le dénoncer, il peut encore se servir de cet élément à son propre service.
« S'il vous plaît, Monsieur, je ne me sens pas en sécurité. Je ne veux pas causer de problèmes à qui que ce soit. Je me sens manipulé... Il est beaucoup plus grand et fort que moi...» Il marque un temps de pause avant de se tourner vers son camarade, la mine déconfite. « Je m'excuse Byron si j'ai fait quelque chose qui t'a mis en colère... »
Voilà, là, il le tient. Il mouline ses mains, regarde ailleurs - et avec ça, Maître dans l'art de verser des fausses larmes, ce n'est pas de l'eau qu'on voit sur ses joues.
La brute brutalisée
Quand le harceleur deviens le harcelé
Byron le sait et il ne peux que l'admettre : il est dans un bourbier phénoménal. Il est la victime dans le rôle de la brute et le prof n'est clairement pas de son côté pour ne pas dire qu'il est contre lui. Il s'en rend compte , l’échappatoire sur laquelle il mise n'est pas sans risque et il est clair que son rang de sans étoiles ne l'aide vraiment pas; il a tout contre lui !
Byron le sait et il ne peut que l'admettre : il est dans un bourbier phénoménal. Il est la victime dans le rôle de la brute et le prof n'est clairement pas de son côté pour ne pas dire qu'il est contre lui. Il s'en rend compte , l’échappatoire sur laquelle il mise n'est pas sans risque et il est clair que son rang de sans étoiles ne l'aide vraiment pas; il a tout contre lui !
Ce qui l'énerve le plus dans l'histoire c'est qu'il n'as rien demandé mais il se retrouve dans une histoire fatigante et inutile causé par l'autre abruti. Byron veux juste aller a sa chambre et se reposer. Il à passer une journée fatigante où il s'est entrainer et réviser pour pouvoir gagner une étoile mais justement il risque de passer à -1. Pour une fois , il veux régler ça de manière pacifiste, il cherche a être tranquille. Bon! maintenant il faut le moyen d'y arriver.
Alors que tu défends, l'autre réplique avec ses arguments. Non seulement ils sont valides mais ils le sont d'autant plus à cause de vos rangs respectifs. Il s'amuse à démonter les tiens un par un. Colère, frustration, fatigue et dérangement se mêlent dans ton esprit. Tu n'as qu'une envie: l'encastrer dans le mur avant d'aller dormir. Tu ne comprends plus ce qu'il veut : te narguer pour le plaisir, te faire perdre ton peu de crédibilité restante ou jouer au justicier voire les trois.
Pour renforcer sa défense, il se fait passer pour la petite victime inoffensive, tu le trouves tellement ridicule et énervant que tu pourrais le comparer à un insecte chialant à pleine larme remplie de moquerie et de manipulation. D'ailleurs c'est lui qui en parle.
-"Plus grand et plus fort ? tu es plus âgé et plus influent que moi. Tu as des amis et je suis solitaire, tu as deux étoiles et moi aucune, tu es respecté et pas moi; dans cette histoire tu ne trouves pas que c'est moi qui suis à la place parfaite de victime de manipulation. Je l'admets tu et un bon acteur mais je ne comprends pas ton but! Tu parles de m'avoir mis en colère mais oui je suis en colère car tu me déranges! Je ne connais même pas ton nom, je veux juste aller me reposer et tu me harcèles!"
Tu t'emportes devant le comportement de victime du lycéen. Tu as hâte que cette histoire se termine mais tu sens que ça va encore durer longtemps et pas a ton avantage. Tu es presque prêt à te ridiculiser auprès de l'enseignant pour que cette histoire se termine.
-"Monsieur s'il vous plaît arrêter cette comédie. Je vous ai appelé pour ça, je veux juste être tranquille pour me reposer après ma journée de labeur car justement j'essaye de gagner des étoiles pas d'en perdre. Cela serait idiot de ma part dé d'agresser un élève puis de venir vous chercher tout ça en étant un sans étoile, vous pouviez vérifier cet automate est les miens. Si je l'avais vraiment agressé je n'aurais pas utilisé mon automate. J'aimerais que mon camarade se tienne loin de moi pour qu'il arrête de me harceler".
Tu mise tout sur ton honnêteté et tu espères que les choses se finissent normalement même si l'autre n'est pas puni. Bien sûr tu espères qu'il soit puni mais vu la situation tu seras déjà bien content si tu t'en sors indemne.
Byron le sait et il ne peut que l'admettre : il est dans un bourbier phénoménal. Il est la victime dans le rôle de la brute et le prof n'est clairement pas de son côté pour ne pas dire qu'il est contre lui. Il s'en rend compte , l’échappatoire sur laquelle il mise n'est pas sans risque et il est clair que son rang de sans étoiles ne l'aide vraiment pas; il a tout contre lui !
Ce qui l'énerve le plus dans l'histoire c'est qu'il n'as rien demandé mais il se retrouve dans une histoire fatigante et inutile causé par l'autre abruti. Byron veux juste aller a sa chambre et se reposer. Il à passer une journée fatigante où il s'est entrainer et réviser pour pouvoir gagner une étoile mais justement il risque de passer à -1. Pour une fois , il veux régler ça de manière pacifiste, il cherche a être tranquille. Bon! maintenant il faut le moyen d'y arriver.
Alors que tu défends, l'autre réplique avec ses arguments. Non seulement ils sont valides mais ils le sont d'autant plus à cause de vos rangs respectifs. Il s'amuse à démonter les tiens un par un. Colère, frustration, fatigue et dérangement se mêlent dans ton esprit. Tu n'as qu'une envie: l'encastrer dans le mur avant d'aller dormir. Tu ne comprends plus ce qu'il veut : te narguer pour le plaisir, te faire perdre ton peu de crédibilité restante ou jouer au justicier voire les trois.
Pour renforcer sa défense, il se fait passer pour la petite victime inoffensive, tu le trouves tellement ridicule et énervant que tu pourrais le comparer à un insecte chialant à pleine larme remplie de moquerie et de manipulation. D'ailleurs c'est lui qui en parle.
-"Plus grand et plus fort ? tu es plus âgé et plus influent que moi. Tu as des amis et je suis solitaire, tu as deux étoiles et moi aucune, tu es respecté et pas moi; dans cette histoire tu ne trouves pas que c'est moi qui suis à la place parfaite de victime de manipulation. Je l'admets tu et un bon acteur mais je ne comprends pas ton but! Tu parles de m'avoir mis en colère mais oui je suis en colère car tu me déranges! Je ne connais même pas ton nom, je veux juste aller me reposer et tu me harcèles!"
Tu t'emportes devant le comportement de victime du lycéen. Tu as hâte que cette histoire se termine mais tu sens que ça va encore durer longtemps et pas a ton avantage. Tu es presque prêt à te ridiculiser auprès de l'enseignant pour que cette histoire se termine.
-"Monsieur s'il vous plaît arrêter cette comédie. Je vous ai appelé pour ça, je veux juste être tranquille pour me reposer après ma journée de labeur car justement j'essaye de gagner des étoiles pas d'en perdre. Cela serait idiot de ma part dé d'agresser un élève puis de venir vous chercher tout ça en étant un sans étoile, vous pouviez vérifier cet automate est les miens. Si je l'avais vraiment agressé je n'aurais pas utilisé mon automate. J'aimerais que mon camarade se tienne loin de moi pour qu'il arrête de me harceler".
Tu mise tout sur ton honnêteté et tu espères que les choses se finissent normalement même si l'autre n'est pas puni. Bien sûr tu espères qu'il soit puni mais vu la situation tu seras déjà bien content si tu t'en sors indemne.
Feat Charlie West
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
Le plus marrant, c'est de voir le déclin de sa victime. Charlie le sait, il a le nez pour ce genre de choses - il sent quand y a de l'eau dans le gaz.
« Je suis désolé que tu ne te sentes pas intégré dans cette école, Byron. » Et il joue encore le chacal, même pas atteint ne serait-ce qu'une demi-seconde pour le sort du malheureux. Charlie, il a sacrément confiance en ses capacités, mais il est prudent aussi. Le bougre se défend sacrément bien en dépit du peu d'armes qu'il possède en sa possession, mais bon, va falloir faire mieux que ça face au bon manipulateur qu'il est. « Mais je ne comprends pas pourquoi tu m'accuses d'être un acteur... Ma souffrance est réelle... Je pense que tu me persécutes parce que tu souffres toi aussi, mais si tu respectais le règlement de cette école, et que tu y mettais de la bonne volonté, je suis certain que tu pourrais accéder aux étoiles qui te manque... » Oh, il parle son petit sans étoile, il cause, il cause - ça lui ferait presque verser une larmichette tellement sa situation est désespérante. Non, je déconne, il s'en branle royalement. « Je te dérange donc tant que ça ? C'est pour ça que tu m'as attrapé par le col et voulu déchirer ma chemise ? Je suis désolé, je voulais simplement être ami avec toi, apprendre à te connaître un peu mieux au-delà du statut social conféré par nos étoiles... Je me rends compte que c'est impossible, car même en présence d'un adulte, tu continues à me hurler dessus... »
Une sacrée langue de pute avec un si beau visage. Charlie n'est pas con, il a compris que le beauty privilege jouait en sa faveur, même si Byron n'est pas moche non plus - juste pas à la mode. Le problème, c'est justement à cause de sa gueule de chien battu qu'il pourrait avoir un avantage dans ce débat ; franchement, il est crédible dans le rôle du sans ami solitaire sur lequel la vie s'acharne injustement.
Charlie essuie sa larme qui peine à descendre de sa joue - et elles sont froides ses larmes, parce qu'elles n'existent pas vraiment. Le revoilà, Byron encore, qui évoque ses automates en suppliant qu'on le croit comme le chien qu'il est. Charlie, il serre les dents, ça le fait chier - ça le fait vraiment chier parce qu'il n'a aucun moyen de contrer ça en plus de haïr le comportement de lèche-cul qu'il a : ironique, me direz-vous ?
Fatalement, l'observation qu'il a de Byron le met incontestablement face à lui-même et il n'aime pas beaucoup ça. Charlie, il n'aime tellement pas sa posture actuelle que son crâne ingénieux a déjà fourni une hypothèse bien meilleure que celle de son adversaire.
« Il a envoyé les automates simplement pour se dédouaner, c'est son processus habituel et la preuve irréfutable de son moyen de faire pression sur les élèves qu'il attrape au coin d'un couloir. »
Échec et mat, mon petit Byron. T'es fais comme un rat - ou plutôt, comme un automate.
La brute brutalisée
Quand le harceleur deviens le harcelé
La situation empire pour Byron, il s'en rend compte et ça l'énerve. Il est à bout.
Pour une fois tu ne cherches pas les ennuies, tu veux juste une journée normale. T'entrainer, réviser et te reposer est là tes objectifs de la journée mais Charlie te fatigue et t'énerve au plus au point. Cette gueule d'ange surement très appréciée dans le bahut et aussi surement très craintive est chétif. Cette idée te viens alors que tu analyses ses faits et gestes. Il a tout du gars intelligent qui a des amis mais qui ne se bat jamais et ne fait jamais de mal à personne: la preuve il a deux étoiles.
Il utilise sa grande intelligence pour te rabaisser plus bas que terre car il sait qu'il le peut et qu'il peut faire pression sur toi. Malheureusement ton status et ton rang d'étoiles jouent énormément, utiliser ta renommée et ton manque d'étoile contre toi et très pertinent de sa part. Tu as fait l'erreur de lui répondre pendant sa provoc et maintenant tu es dans de beaux draps.
Voilà que Charlie se fait passer pour le bon élève qu'il est en essayant de te faire la morale. Il te parle d'intégration et de règlement. Tu te retiens de lui rire au nez. Par contre il y a un détail qui te fait nettement moins rire, il te fait passer pour une victime qui souffre et qui ne veut pas d'ami. Autant dire qu'il frappe fort et tu ne le supporte plus. Byron se pose des questions pendant les monologues de Charlie et hésite vraiment à se lâcher : après tout pourquoi pas une victime de plus alors qu'il est déjà le bourbier ne changera rien. Et puis quelle victime délicieuse qu'il ferait, il adorerait voir Charlie se trainait par terre et supplier qu'on l'épargne.
" Moi je souffre ? elle est bien bonne !" dit-il en riant aux éclats. "Tu crois que je cherche à m'intégrer ? À me faire des amis ? À gagner des étoiles ?" dit-il en prenant son air menaçant. "Merci ça faisait longtemps que je n'avais pas autant rit. Pourquoi crois tu que je suis un sans étoiles ? Simplement parce que je serais une simple victime telle que toi ? Je me fais respecter à ma manière, je n'ai pas besoin d'amis ou d'étoiles pour me sentir supérieur." Byron en a marre d'être gentil avec lui, il préfère l'offensive! "Tu dis vouloir être ami avec moi ? tu as complètement raté ton approche dans ce cas! Tu n'aurais pas dû me provoquer! Tu penses vraiment qu'un mec comme moi voudrait être ami avec une victime et une vermine comme toi ?" dit-il avec la rage le gagnant.
Tu te rend comptes que l'enseignant est toujours là et que ton argumentaire ne tient plus trop la route. Tu te dois d'essayer de reprendre tes esprits. Ce que tu viens de dire tu sais très bien que cela va te retomber dessus.
"Pardonnez moi monsieur mais j'ai beaucoup de mal à contrôler ma colère surtout lorsque l'on me provoque et j'imagine que vous saviez ce qui se passe dans ses cas là. donc je pense qu'il vaudrait mieux que l'on s'arrête là, surtout que j'ai simplement envie que cette histoire se termine et que je puisse me reposer après mon entrainement."Tu repris la parole face à Charlie " Tu parles de me dédouaner et mon processus habituel . Comment pourrais tu le savoir puisque je m'en suis jamais pris à toi ? Justement habituellement je m'arrange qu'il n'y ait aucun membre du personnel pour pouvoir agir tranquillement comme toute bonne raclure de ma trempe le ferait. Il serait idiot de la part d'un mec comme moi de me mettre au-devant du danger en appelant moi-même un professeur surtout quand il y a de potentielles preuves a l'appuie comme ta chemise que tu as arraché toi-même."
Byron le sait il est probablement fichu.
Feat Charlie West
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
Oh, Charlie, ça le fait sourire intérieurement de le voir perdre pied de la sorte. La glissade de son petit sans étoile est tumultueuse, il se fait du mal tout seul et s'enfonce lui-même en jouant son petit jeu ; c'est presque si facile que ça en deviendrait ennuyant.
On a le droit à un discours émotionnellement chargé. Charlie a vu juste, il sait comment faire sortir les gens de leur carapace - il comprend, il cerne les gens, mais ce n'est jamais pour leur tendre la main.
Byron est si piteusement en recherche d'attention que se plaindre de ce qui l'affecte l'a plongé tête la première dans la brèche ouverte, la fausse amitié demandée affaiblissant considérablement son jugement. Dans le fond, ses arguments sont valables, ils ne sont même pas tout à fait idiots, mais ce qui le dessert, c'est son attitude : aucune chance que le professeur le prenne au sérieux.
Et quand il avoue lui-même, ohoh, quand il avoue lui-même qu'il est du genre à s'en prendre à ses victimes dans le plus grand des secrets, c'est Noël pour Charlie : c'est du tout cuit qui lui tombe dans les mains, c'est un divin plat qu'il savoure à s'en lécher les babines ; c'est putain de Thanksgiving. Mais attention, il a conscience que le moindre faux pas pourrait dévoiler au grand jour son vrai visage et pourrait changer la donne - alors, c'est avec prudence qu'il hasarde.
« Parce que les autres victimes s'en plaignent ? » Toujours, Charlie garde une voix modérée, il a un rôle à jouer. Si l'ombre qu'il projette sur le mur de la bâtisse pouvait communiquer, on y verrait deux cornes de diable au-dessus de sa tête et une queue fourchue. « Alors, je suis désolé, je pensais que, du fait de ton statut, t'aurais voulu améliorer ta situation en cherchant à te faire des amis, mais que tu ne savais pas comment t'y prendre de peur de te faire rejeter. Les autres personnes se tiennent bien loin des sans étoiles, et j'ai cherché à rendre ta situation plus confortable, c'était naïf de ma part, sauf que j'ai tellement le cœur sur la main que je n'ai pas pu m'empêcher de vouloir te sauver... C'était stupide et je m'en excuse encore. » Lui-même se demande où il trouve la concentration nécessaire pour ne pas se laisser à rire à gorge déployée comme la fait Byron tout à l'heure. Le sans étoile s'est abandonné à l'instinctif, à l'émotion - Charlie ne doit pas faire la même erreur.
Le West, il a quand même le visage contracté. Il cache ses rictus nerveux en compensant ses sensations physiques par d'autres - pas question qu'on l'analyse. Il sent sa voix sur le point de fléchir, de trembler, tellement lui-même à conscience d'à quel point il se fout ostensiblement de sa gueule.
Dans un ultime effort, il réprime un sourire de satisfaction en lançant sa toute dernière offensive.
« Donc... si ta situation te convient telle qu'elle est, est-ce que tu pourrais au moins arrêter de me harceler, s'il te plaît ? »
Les sanctions doivent tomber, c'est là tout le but de la manœuvre. S'il fait son petit numéro de victime qui protège son bourreau à la perfection, il doit susciter de la pitié chez l'enseignant, ou au moins, jouer sur les clauses du règlement qui ne devraient être bafoué par quelques traitements de faveur que ce soit - et ça marchera forcément, puisque Byron l'a lui-même identifié comme étant la victime à toute cette masquerade.
La brute brutalisée
Quand le harceleur deviens le harcelé
Byron est décidément énervé; Charlie le pousse à bout avec son jeu d'acteur mémorable digne d'un professionnel chercheur d'emmerdes. Une victime qui joue les victimes pour causer des problèmes, c'est parfaitement inédit pour Byron. Généralement les plus âgés l'ignore car ils n'ont surement pas de temps à perdre avec "un minus qui joue les durs" et les plus jeunes ne s'approche pas par peur de subir un châtiment à la Byron.
Charlie est rentré dans le viseur de Byron, Il cherche littéralement les ennuis à la source. Byron se rend compte du danger d'être un sans étoiles, toutes les fautes commises par les autres peuvent lui retomber dessus.
Ça y est le moment fatidique est arrivé, Charlie rentre dans la dernière phase de son plan, celle qui le mènera à la victoire tant attendue. Charlie joue le gentil garçon moralisateur pour enfoncer Byron encore plus en faisant croire qu'il essayer de l'aider, de "rendre la situation plus confortable", "de l'aider". On se croirait dans l'un de ces shonens ; les mangas japonais pour ado où le héros essaye d'aider l'antagoniste. Byron ri intérieurement, oh qu'il rit avec un soupçon de folie et de rage naissantes. Il ose parler d'inclusive alors qu'il ne se rend pas compte à quel point Byron s'en fiche. Il ne pense qu'à devenir meilleur, "LE" meilleur et ceux peu importe les autres.
Byron sait que Charlie le mène à la baguette, oh que oui il le sait! Mais dans son état il s'en soucis de moins en moins, après tout il pense déjà avoir perdu. Au fond de lui il l'avoue, il l'assume : Charlie a été meilleur ! Alors autant lui montrer ce qu'est un sans-étoiles
Byron rentre en rage, mais se contrôle! Il hausse alors la voix avec les poings serrés :" Je l'admets tu as été le plus intelligent sur ce coup-là, profiter de ma situation de sans-étoiles pour me faire accuser de quelque chose que je n'ai pas fait c'est du génie. Même moi je n'aurais jamais penser à faire ça! Apparemment les étoilés ne sont pas tous des anges car il faut être sacrément fourbe pour ça. Ou bien ton rang n'est simplement pas du tout légitime espèces de minable. D'ailleurs il n'y a pas que ton rang mais aussi toutes tes relations qu'elles soit basées sur le respect, amicale ou familiale ! Tout ça est entièrement faux et ton existence entière doit l'être si tu t'amuse à faire l'acteur comme tu le fait avec moi. Ton existence elle-même n'as pas de sens et tu cherche à te sentir vivant en me provoquant ? "
Ca y est Byron est en rage , et d'ailleurs il empire son cas en constatant de se faire avoir par un minable pareil, il nourrit sa propre rage. Il en vient à ignorer la présence du professeur et à se concentrer sur le faux visage d'ange moralisateur de Charlie. Il se dit qu'il faut se méfier des minables. mais justement : en étant un sans-étoile Byron n'est-il pas lui-même un minable?
"Tu me demandes si les autres s'en plaignent ? mais comment croit-tu que je sois devenu un sans-étoiles mon petit minable sans importance ?" dit Byron avec un air menaçant. " Tu veux te sentir exister ? tu veux toi aussi te plaindre ? je vais t'aider car après tout la douleur est la preuve que l'on est vivant". Byron demande alors à son automate de lui mordre la main avec laquelle il a froissé sa chemise.
"Voila une bonne raison de te plaindre , voila ce qu'est un sans-étoiles ! Tu m'a cherché et tu m'as trouvé espèce de minable sans importance !"
Charlie est rentré dans le viseur de Byron, Il cherche littéralement les ennuis à la source. Byron se rend compte du danger d'être un sans étoiles, toutes les fautes commises par les autres peuvent lui retomber dessus.
Ça y est le moment fatidique est arrivé, Charlie rentre dans la dernière phase de son plan, celle qui le mènera à la victoire tant attendue. Charlie joue le gentil garçon moralisateur pour enfoncer Byron encore plus en faisant croire qu'il essayer de l'aider, de "rendre la situation plus confortable", "de l'aider". On se croirait dans l'un de ces shonens ; les mangas japonais pour ado où le héros essaye d'aider l'antagoniste. Byron ri intérieurement, oh qu'il rit avec un soupçon de folie et de rage naissantes. Il ose parler d'inclusive alors qu'il ne se rend pas compte à quel point Byron s'en fiche. Il ne pense qu'à devenir meilleur, "LE" meilleur et ceux peu importe les autres.
Byron sait que Charlie le mène à la baguette, oh que oui il le sait! Mais dans son état il s'en soucis de moins en moins, après tout il pense déjà avoir perdu. Au fond de lui il l'avoue, il l'assume : Charlie a été meilleur ! Alors autant lui montrer ce qu'est un sans-étoiles
Byron rentre en rage, mais se contrôle! Il hausse alors la voix avec les poings serrés :" Je l'admets tu as été le plus intelligent sur ce coup-là, profiter de ma situation de sans-étoiles pour me faire accuser de quelque chose que je n'ai pas fait c'est du génie. Même moi je n'aurais jamais penser à faire ça! Apparemment les étoilés ne sont pas tous des anges car il faut être sacrément fourbe pour ça. Ou bien ton rang n'est simplement pas du tout légitime espèces de minable. D'ailleurs il n'y a pas que ton rang mais aussi toutes tes relations qu'elles soit basées sur le respect, amicale ou familiale ! Tout ça est entièrement faux et ton existence entière doit l'être si tu t'amuse à faire l'acteur comme tu le fait avec moi. Ton existence elle-même n'as pas de sens et tu cherche à te sentir vivant en me provoquant ? "
Ca y est Byron est en rage , et d'ailleurs il empire son cas en constatant de se faire avoir par un minable pareil, il nourrit sa propre rage. Il en vient à ignorer la présence du professeur et à se concentrer sur le faux visage d'ange moralisateur de Charlie. Il se dit qu'il faut se méfier des minables. mais justement : en étant un sans-étoile Byron n'est-il pas lui-même un minable?
"Tu me demandes si les autres s'en plaignent ? mais comment croit-tu que je sois devenu un sans-étoiles mon petit minable sans importance ?" dit Byron avec un air menaçant. " Tu veux te sentir exister ? tu veux toi aussi te plaindre ? je vais t'aider car après tout la douleur est la preuve que l'on est vivant". Byron demande alors à son automate de lui mordre la main avec laquelle il a froissé sa chemise.
"Voila une bonne raison de te plaindre , voila ce qu'est un sans-étoiles ! Tu m'a cherché et tu m'as trouvé espèce de minable sans importance !"
Feat Charlie West
Geez, you are a loser ; don't talk with me.
Charlie & Byron
L'adrénaline affût dans ses veines et semble ne pas vouloir retomber malgré la stature calme qu'il impose. Son visage ment, mais ses yeux non. Au fin fond de ses iris, son étincelle rieuse prend une jouissance délectante de voir l'autre perdre pied, à le savoir perdant d'une situation que seul lui-même a initié. Jamais le brun n'aurait cru prendre autant de plaisir d'être acteur de la souffrance de quelqu'un.
« Je ne vois pas pourquoi tu dis ça, Byron, ce n'est absolument pas le sujet... »
Byron veut éclaircir la situation. Charlie continue de jouer son rôle, Charlie m'abandonnera pas - jamais. Mais, au fond de lui, au fin fond de lui, une ampoule éclate, elle se brise en mille morceaux qui se répandent en tas jonchant sa conscience, comme si la lucidité refaisait surface lorsque l'autre évoque une partie de sa personnalité qu'il résume à faire semblant.
Byron n'est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, mais ses paroles sont affûtées de vérité, plus qu'il n'oserait se l'avouer. Elles le clouent sur place, le laissent à peine respirer. Charlie qui a tant de choses à dire se retrouve à laisser sa langue glisser lymphatiquement sous son palais, simplement interdit.
L'harceleur l'a mis en lumière et a révélé une partie de son vrai visage - enfin, ce qui le rassure, c'est que personne ne le croira. Parce que oui, il a raison, il a même sacrément raison. Bien sûr que le pouvoir provoqué par le contrôle qu'il exerce sur lui permet d'affirmer sa domination. Bien sûr qu'il choisit ses relations avec soin pour être protégé, parce que jamais, oh grand jamais, il n'ira s'attaquer à qui il sait plus fort que lui.
Charlie est malin, Charlie respecte la hiérarchie - et le côté indépendant de Byron l'énerve : le sans étoile devrait connaître sa place et s'y enjoindre sans restriction, sans se poser de questions ; il se tait et puis c'est tout.
Oh, qu'il aurait envie de provoquer derechef, de rétorquer : "ah vraiment ? Tu m'as tellement convaincu, qu'est-ce que je vais faire si tu me détestes ?" de démontrer que ça ne l'atteint pas, que l'autre aux cheveux argentés ne renversera pas la vapeur de cette façon.
Hélas, le problème avec son rôle de victime apeurée, c'est qu'il ne peut pas faire sortir son bouclier de sarcasme, celui qui sait si bien le défendre en cas de dernier recours.
Byron le met face à lui-même et il déteste ça.
Très vite, Charlie comprend que Byron sait qu'il a perdu, et ses paroles ne sont plus destinées à se sauver en utilisant une logique imparable au mieux ou de faire office de psy de bas étage pour le décontenancer, au pire - elles ont la volonté d'un mort sur l'échafaud, celui qui se sait condamné et s'octroie alors toutes les permissions avant sa dernière heure.
Et - comme pour confirmer sa théorie intrinsèque, un automate se glisse entre eux et fuse sur le brun. Un éclat de douleur le traverse et il pousse un cri aigu, sa voix perçant la tranquillité des lieux. La blessure lancinante le fait gémir. La surprise est surjouée, elle aussi, bien que ce fût une vraie manifestation de peur qui a franchi le seuil de ses lèvres.
À cet instant, Charlie n'a jamais été aussi vrai.
Très vite, sa peau s'imprègne des marques de mâchoire métallique, sa main pâle faisant apparaître les minuscules crocs en petits points rouges dont l'écartement régulier ne permet pas une autre piste qu'une attaque à dents armées.
Le garçon plie son ventre et se tient la dextre, caressant la zone affligée, un regard sombre par-dessus ses lunettes destiné à Byron, lui-même.
Oh - pourtant, Charlie, ça ne l'arrêterait pas. Au contraire. C'est pas fini. Plus Byron se débat dans les filets, plus il s'y emmêle. La seule chose que Charlie a néanmoins retenue de leur entrevue, c'est qu'il ne l'affrontera plus jamais seul.
« Je ne vois pas pourquoi tu dis ça, Byron, ce n'est absolument pas le sujet... »
Byron veut éclaircir la situation. Charlie continue de jouer son rôle, Charlie m'abandonnera pas - jamais. Mais, au fond de lui, au fin fond de lui, une ampoule éclate, elle se brise en mille morceaux qui se répandent en tas jonchant sa conscience, comme si la lucidité refaisait surface lorsque l'autre évoque une partie de sa personnalité qu'il résume à faire semblant.
Byron n'est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, mais ses paroles sont affûtées de vérité, plus qu'il n'oserait se l'avouer. Elles le clouent sur place, le laissent à peine respirer. Charlie qui a tant de choses à dire se retrouve à laisser sa langue glisser lymphatiquement sous son palais, simplement interdit.
L'harceleur l'a mis en lumière et a révélé une partie de son vrai visage - enfin, ce qui le rassure, c'est que personne ne le croira. Parce que oui, il a raison, il a même sacrément raison. Bien sûr que le pouvoir provoqué par le contrôle qu'il exerce sur lui permet d'affirmer sa domination. Bien sûr qu'il choisit ses relations avec soin pour être protégé, parce que jamais, oh grand jamais, il n'ira s'attaquer à qui il sait plus fort que lui.
Charlie est malin, Charlie respecte la hiérarchie - et le côté indépendant de Byron l'énerve : le sans étoile devrait connaître sa place et s'y enjoindre sans restriction, sans se poser de questions ; il se tait et puis c'est tout.
Oh, qu'il aurait envie de provoquer derechef, de rétorquer : "ah vraiment ? Tu m'as tellement convaincu, qu'est-ce que je vais faire si tu me détestes ?" de démontrer que ça ne l'atteint pas, que l'autre aux cheveux argentés ne renversera pas la vapeur de cette façon.
Hélas, le problème avec son rôle de victime apeurée, c'est qu'il ne peut pas faire sortir son bouclier de sarcasme, celui qui sait si bien le défendre en cas de dernier recours.
Byron le met face à lui-même et il déteste ça.
Très vite, Charlie comprend que Byron sait qu'il a perdu, et ses paroles ne sont plus destinées à se sauver en utilisant une logique imparable au mieux ou de faire office de psy de bas étage pour le décontenancer, au pire - elles ont la volonté d'un mort sur l'échafaud, celui qui se sait condamné et s'octroie alors toutes les permissions avant sa dernière heure.
Et - comme pour confirmer sa théorie intrinsèque, un automate se glisse entre eux et fuse sur le brun. Un éclat de douleur le traverse et il pousse un cri aigu, sa voix perçant la tranquillité des lieux. La blessure lancinante le fait gémir. La surprise est surjouée, elle aussi, bien que ce fût une vraie manifestation de peur qui a franchi le seuil de ses lèvres.
À cet instant, Charlie n'a jamais été aussi vrai.
Très vite, sa peau s'imprègne des marques de mâchoire métallique, sa main pâle faisant apparaître les minuscules crocs en petits points rouges dont l'écartement régulier ne permet pas une autre piste qu'une attaque à dents armées.
Le garçon plie son ventre et se tient la dextre, caressant la zone affligée, un regard sombre par-dessus ses lunettes destiné à Byron, lui-même.
Oh - pourtant, Charlie, ça ne l'arrêterait pas. Au contraire. C'est pas fini. Plus Byron se débat dans les filets, plus il s'y emmêle. La seule chose que Charlie a néanmoins retenue de leur entrevue, c'est qu'il ne l'affrontera plus jamais seul.
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